Qui suis-je ?
Avant d’être thérapeute je suis un être humain, et à ce titre j’ai moi aussi eu à composer avec la souffrance. J’ai moi aussi eu besoin d’aide (j’ai vu mon premier psy à 13 ans) et je me suis retrouvée, moi aussi, jetée dans la jungle des thérapeutes en tous genres. Je dirai que j’en ai consulté une quinzaine en quinze ans. D’abord des psychologues, puis des psychiatres, et puis ne trouvant pas mon bonheur dans ces professions reconnues, j’ai ouvert mon esprit à d’autres pratiques. J’ai tenté tout ce qui m’est passé par la tête, tout ce dont j’ai entendu parler : hypnothérapie, acupuncture, homéopathie, voyance, méditation, diététique, séjours de jeûne…
J’aurais fait n’importe quoi pour me défaire de mes angoisses, de mes phobies, de ma boulimie, de ma dépression, et des tas de petits symptômes avec lesquels on apprend à vivre sans même penser qu’on peut s’en séparer. Je n’ai jamais attendu d’un thérapeute qu’il m’aide à comprendre pourquoi je traînais tous ces symptômes, car je les avais depuis si longtemps que je n’avais même pas imaginé qu’ils puissent avoir une cause, une raison d’être, voire même une mission.
J’ai croisé la méthode qui a changé ma vie alors que je ne cherchais même plus. Et à 30 ans j’ai découvert l’existence de mon passé, et le concept d’amnésie traumatique. Parce que j’étais bien accompagnée, pour la première fois de ma vie j’ai ouvert une porte vers la guérison. Je sais aujourd’hui que c’est une voie aussi difficile que libératrice, et je sens que ma mission est d’aider et d’accompagner tous ceux qui veulent l’emprunter.
À 32 ans j’ai donc décidé de changer de vie, de laisser mon ancien métier de côté, et de me former à cette méthode aussi efficace que logique.
Qui suis-je ?
Avant d’être thérapeute je suis un être humain, et à ce titre j’ai moi aussi eu à composer avec la souffrance. J’ai moi aussi eu besoin d’aide (j’ai vu mon premier psy à 13 ans) et je me suis retrouvée, moi aussi, jetée dans la jungle des thérapeutes en tous genres. Je dirai que j’en ai consulté une quinzaine en quinze ans. D’abord des psychologues, puis des psychiatres, et puis ne trouvant pas mon bonheur dans ces professions reconnues, j’ai ouvert mon esprit à d’autres pratiques. J’ai tenté tout ce qui m’est passé par la tête, tout ce dont j’ai entendu parler : hypnothérapie, acupuncture, homéopathie, voyance, méditation, diététique, séjours de jeûne…
J’aurais fait n’importe quoi pour me défaire de mes angoisses, de mes phobies, de ma boulimie, de ma dépression, et des tas de petits symptômes avec lesquels on apprend à vivre sans même penser qu’on peut s’en séparer. Je n’ai jamais attendu d’un thérapeute qu’il m’aide à comprendre pourquoi je traînais tous ces symptômes, car je les avais depuis si longtemps que je n’avais même pas imaginé qu’ils puissent avoir une cause, une raison d’être, voire même une mission.
J’ai croisé la méthode qui a changé ma vie alors que je ne cherchais même plus. Et à 30 ans j’ai découvert l’existence de mon passé, et le concept d’amnésie traumatique. Parce que j’étais bien accompagnée, pour la première fois de ma vie j’ai ouvert une porte vers la guérison. Je sais aujourd’hui que c’est une voie aussi difficile que libératrice, et je sens que ma mission est d’aider et d’accompagner tous ceux qui veulent l’emprunter.
À 32 ans j’ai donc décidé de changer de vie, de laisser mon ancien métier de côté, et de me former à cette méthode aussi efficace que logique.